Suite à la MFIU (mort foetale intrautérine) de l’un des enfants de la soeur aînée du promoteur, une opération d’urgence a été demandée et l’ordonnace exigeait 2 poches de sang.
Le promoteur a dû faire le tour de tous les hôpitaux de Yaoundé et appelé un maximum de personnes afin de trouver du sang de son groupe.
Comme coup du sort pendant toutes ces tracasseries le promoteur a perdu sa pièce d’identité nationale.
C’est dans la salle des gardes malades que le promoteur a pris une feuille et un stylo et a commencé à y inscrire ses premières réflexion sur une solution viable pour résoudre le problème de don de sang au Cameroun.